Le cold calling consiste à émettre des appels sortants auprès de prospects froids qui ne seront donc pas forcément réceptifs à vos arguments. Comment réduire l’effet de surprise et les rendre plus enclins à vous accorder 5 minutes de leur temps ? 

Cold calling : comment éviter de se prendre un râteau ?

Effectuer un appel à froid, c’est s’adresser à un prospect n’ayant pas encore montré d’intérêt pour vos produits ou services (demande d’informations ou de devis, téléchargement d’un livre blanc…). Il ne vous connaît pas et n’attend pas votre appel. Vous avez donc une chance sur deux de vous faire rembarrer. Autant dire que si vous ne mettez pas toutes les chances de votre côté, c’est l’échec assuré ! 

Si en revanche, vous acceptez de jouer le jeu, tout ce que vous risquez, c’est que votre interlocuteur vous écoute. Et si vous avez vraiment de la chance, vous pourriez même décrocher un rendez-vous. 

 

Comment réussir sa prospection à froid ?

Le cold calling permet de susciter un intérêt auprès de cibles n’ayant aucune intention d’acheter dans l’immédiat ou de changer de fournisseur. Si les refus sont fréquents, il s’agit néanmoins d’une méthode très efficace. Les échanges sont directs. Vous pouvez donc cerner facilement les freins de votre prospect et désamorcer ses doutes. 

Toutefois, comme toute pratique commerciale, la prospection à froid nécessite de respecter certaines bonnes pratiques. 

Quel est le meilleur créneau horaire pour effectuer un appel à froid ? Comment donner envie à votre interlocuteur de poursuivre l’appel ? Toutes les astuces pour réussir votre prospection à  froid sont dans notre livre blanc « Les 5 règles d’or du cold calling »