Face à l’augmentation massive des contenus publiés sur internet, le temps d’attention de l’internaute a diminué de façon drastique, ces dernières années. Afin de répondre à cette tendance croissante, les entreprises doivent redoubler d’ingéniosité en proposant des contenus faciles à consommer : les snack contents.
Snack content : des contenus courts et rapidement consommables pour s’adapter aux nouvelles habitudes de consommation des internautes
Attractifs, les snack contents permettent de transmettre un message court et percutant en quelques secondes. Contrairement aux articles longs et détaillés, ces contenus courts ne traitent pas les sujets en profondeur mais se contentent de mettre en avant les éléments les plus pertinents pour le lecteur de façon à attirer son attention. Ils délivrent une information intéressante et utile à travers un format non intrusif.
Quels snack contents proposer en marketing B2B ?
Conçus pour capter des internautes sollicités de toutes parts, à tout moment de la journée, les snack contents permettent de gagner en visibilité, d’attirer de nouveaux visiteurs et de générer de l’engagement sur les réseaux sociaux, leur format étant propice au partage. Ils peuvent se décliner sous différentes formes :
- Un article de blog (300 mots maximum)
- Une vidéo courte postée sur les réseaux sociaux
- Un statut Facebook ou un tweet engageant
- Une infographie
- Une illustration accompagnée d’une légende
- Une citation
- Un gif
Snack content : une solution parfaitement adaptée au B2B
Si le fait de proposer des contenus rapides à consommer peut sembler paradoxal en content marketing B2B où l’on aurait plutôt tendance à proposer des contenus détaillés, cette pratique est en réalité tout à fait légitime. Les cibles B2B sont constamment saturées d’informations provenant de toute part et disposent de très peu de temps disponible. Le snacking content permet de capter leur attention en quelques secondes. En outre, il s’agit d’un format adapté pour le mobile où le temps d’attention est encore plus court.
Auteur : Jean-Louis Pétrod